[...] «Sans doute le phénomène des émeutes est-il en partie nourri par les contenus en ligne, mais faire des réseaux sociaux le principal moteur des violences urbaines est forcément réducteur. C’est faire l’impasse sur les causes sociologiques qui en sont à l’origine et sur les motivations de ceux qui y participent, estime Jean-Baptiste Delhomme, directeur associé chez IDS, agence de communication spécialisée dans l’analyse des réseaux sociaux et des mouvements d’opinion en ligne. Et le phénomène des émeutes urbaines en France est largement antérieur à l’émergence des réseaux sociaux.»
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